Déclaration du maire de Saint-Gervais Mise à mort de Jean-Marc Peillex

1-    Les ANTI-PEILLEX conduits par Monsieur Charles HEDRICH, son association RESPECTONS LA TERRE (3), associé à Madame PRELOT-MATHEY représentante de FNE et l’association de défense du Plateau de la Croix.

·       Le premier Charles HEDRICH dont le fils Nelson HEDRICH a réalisé des constructions non-conformes à l’autorisation de travaux qui lui a été délivrée et dont le chantier a été arrêté au travers d’un arrêté interruptif de travaux dont le texte a été rédigé par le Procureur de la République de Bonneville ! Depuis il inonde les institutions, des élus, la presse d’emails diffamatoires : Peillex le corrupteur, commettant des prises illégales d’intérêts, des actes de favoritisme, des faux en écriture, soupçonné de pédophilie, d’être un consommateur de cocaïne et même…. violeur ….. en résumé Peillex cumule tous les crimes et délits du code pénal.

·       La seconde Madame PRELOT-MATHEY, activiste de FNE dont on connait l’inimitié portée au maire de Saint-Gervais

·       La troisième l’association de défense du Plateau de la Croix constituée par des propriétaires dont plusieurs ont fait l’objet de poursuite pour construction sans autorisation d’urbanisme à l’instar récemment de sa Présidente !

2-    Les services de l’ETAT

Dont un fonctionnaire zélé de la Direction Départementale des Territoires (DDT) a pris pour argent comptant leurs affirmations d’actes délictueux dans ce qui est aujourd’hui appelé « l’affaire des chalets de luxe du plateau de la Croix », et indiquant clairement :

«… l’aspect politique de cette affaire et le contentieux « historique » entre le maire et Monsieur HEDRICH contraignent ma liberté d’action ……La solution la plus aisée serait que le parquet se saisisse du dossier et diligente une enquête de gendarmerie. »

Cette position, dont il est impensable qu’elle n’ait pas été partagée par ses supérieurs dont le Préfet de l’époque Yves LE BRETON, a été suivie d’effet au travers d’une procédure entièrement à charge menée par la brigade de recherches de la gendarmerie de Chambéry.

3-    La presse

Les journalistes du DAUPHINE LIBERE ont trouvé une proie, Jean-Marc PEILLEX, le bouillonnant maire de Saint-Gervais que certains rêvent de voir tomber, celui qui ose dire, celui qui fait et qui dérange tous ceux qui ne font rien. Difficile de contrer, de se faire entendre et de contredire sur un territoire où il n’existe qu’un journal quotidien (1).

Cette fois-ci ils doivent croire que c’est la bonne, en font une bonne une et titrent tapageusement « le maire du « mont-blanc » rattrapé par une affaire d’urbanisme ». Ils laissent ainsi planer le doute sur sa probité et sur son devenir ! PEILLEX serait un magouilleur dont enfin le Procureur de la République aurait démasqué les pratiques frauduleuses entre urbanisme et des mécènes de la commune !

NON Monsieur Antoine CHANDELIER (2), même s’il est de notoriété publique que vous détestez Jean-Marc PEILLEX en raison de ses combats pour protéger le MONT-BLANC, vous n’avez pas le droit de vous ériger en juge et de salir à dessein un élu de la République. Annoncer une audience ne vous permet pas de laisser supposer de sa culpabilité, vous outrepassez votre rôle de journaliste et ne respectez pas la déontologie de ce métier. Vos sous-entendus et vos mots sont salissants et inadmissibles.

OUI Monsieur Antoine CHANDELIER, la présomption d’innocence est un principe dans notre pays, ne vous en déplaise.

4-    Quelques élus de la République revanchards ou jaloux

Telles les députées DUBY-MULLER et PETEX, le sénateur Loïc HERVE, soutiens inconditionnels du maire de MEGEVE qui a écrit il y a quelques mois que le maire de Saint-Gervais faisait l’objet de graves accusations. Ces élus en s’érigeant en juge ou en tentant de décrédibiliser un autre élu de la République qui les dérange ne sont pas à leur place.

Incidemment et presque providentiellement, il m’a été remis en présence de témoin l’enregistrement d’une communication téléphonique qui a eu lieu entre un entrepreneur et Monsieur Charles HEDRICH. L’entrepreneur cherchait à se faire payer par Monsieur HEDRICH qui lui a dit clairement qu’il cherchait à se payer PEILLEX !

Glaçant

C’est terrifié que j’ai entendu Monsieur Charles HEDRICH affirmer à son interlocuteur à plusieurs reprises qu’il avait décidé de procéder à ma MISE A MORT, qu’il était à la manœuvre, prêt à dépenser 100.000 € voire 300.000, pour y arriver. « Maintenant c’est mise à mort et on arrête de rigoler. »
Cela fait froid dans le dos surtout quand on sait aussi de quoi Charles HEDRICH est capable au travers d’autres enregistrements déjà transmis au parquet de Bonneville, aux Préfet et Sous-Préfet…. sans jamais aucune suite.

Des élus abandonnés

Si certains crient haut et fort qu’il faut protéger les élus des agressions, le silence et l’inaction d’autres en dit long sur leurs véritables intentions.

Le lion a quelques égratignures mais il n’est pas mort.

Ne vous en déplaise Monsieur Charles HEDRICH et vos associés de toute nature, la vérité éclatera et je poursuivrai toutes celles et tous ceux qui m’ont sali et qui ont participé à cette tentative de mise à mort quels que soient leur titre et leur fonction, quel que soit leur rang.

Merci d’avance pour vos soutiens

Si vous souhaitez me soutenir, un petit message me fera plaisir mais le mieux c’est de faire découvrir au plus grand nombre le calvaire qu’on fait subir aux élus en partageant le plus possible ce texte.

J’ai été, je suis et je resterai #droitdansmesbottes

Jean-Marc Peillex

Maire de Saint-Gervais les bains,

Président de la Communauté de communes Pays du Mont-Blanc

Vice-Président du Conseil départemental de Haute-Savoie

(1)   La rédaction du Dauphiné libéré a ainsi refusé de publier mon droit de réponse à la suite de la désinformation faite par un article de Sébastien VOINOT relatif à un jugement concernant Charles HEDRICH

(2)   Journaliste au Dauphiné libéré à Chamonix pendant de nombreuses années

(3)   Association de Charles HEDRICH simple support de ses activités commerciales et d’aventurier